lundi 3 juillet 2017


Des informations nécessaires à la bonne compréhension de chacun

En réponse à un certain nombre d’interrogations sur des textes rédigés et diffusés par Patrice Piquereau depuis un an, nous apportons ici des informations nécessaires à la bonne compréhension de chacun.

Patrice Piquereau a été élu en 2014 sur la liste « Ensemble pour Chavagne » qui compose le groupe majoritaire au Conseil municipal.
Mi-2016, à la suite d’une incompréhension manifeste sur un projet d’urbanisme d’initiative privée, au 5 chemin de la Croix Blanche, notre collègue a fait le choix de participer à la création d’une association dite de « Défense du cadre de vie (ADCV-C)»  et de la présider.
Mis devant le fait accompli, les élus du groupe majoritaire « Ensemble pour Chavagne » ont rapidement alerté Patrice Piquereau sur le risque de conflit d’intérêts, habitant lui-même chemin de la Croix Blanche, à proximité du projet.
Loin de prendre en compte cette mise en garde, Patrice Piquereau a renforcé son rôle dans cette association, notamment en participant activement à la production de tracts sur ce projet privé du 5 chemin de la Croix Blanche. Ses collègues élus du groupe majoritaire n'ont pas plus été informés de ces nouvelles initiatives que des précédentes, découvrant les tracts en même temps que les Chavagnais.

Se prémunir de tout risque de conflit d’intérêts
A plusieurs reprises, nous avons rappelé notre collègue à la ligne évidente qu’un élu se doit de tenir : inscrire son action dans le cadre de l’intérêt général et se prémunir de tout risque de conflit d’intérêts.
En participant activement à la création et la diffusion d’une « Gazette de Chavagne », Patrice Piquereau a pris la décision de quitter le groupe majoritaire et de critiquer ouvertement l’action menée par celui-ci, alors qu'il y avait pris toute sa part durant les deux premières années du mandat.
Il a confirmé ce revirement en demandant à ce qu’un espace d’expression lui soit dorénavant réservé dans le bulletin municipal, en s’appuyant sur des arguments juridiques. Le Conseil municipal lui a donné acte de cette demande qui se traduit par une réduction des espaces d’expression pour la minorité et la majorité.


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